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24000 LEBEL (Robert). La Double Vue. Suivi de L’Inventeur du temps gratuit.
Couverture illustrée par Alberto Giacometti. En hors-texte “La Pendule de Profil” de Marcel Duchamp. P., Le Soleil Noir, Série Club, 1964, in-12, br., n.c., couv. rempl., étui Ingres noir de l’éditeur, 137 p. Edition originale. 1/150 ex. de la série "club" num. sur vélin edita Prioux avec une eau-forte originale justifiée et signée de ERRO. Parfait état, non coupé.


180 €


 






1673 LECACHE (Bernard). Jacob.
P., N.R.F., 1925, in-12, br., 253 p. Edition originale. 1/893 ex. num. sur vélin pur fil Lafuma.


25 €


 






451 LECACHE (Bernard). Jacob.
P., N.R.F., 1925, in-4, br., 253 p. Edition originale. 1/109 ex. de tête réimposé sur vergé pur fil Lafuma-Navarre.


50 €


 






20796 LECOMTE (Marcel). [Bruno Capacci]. MANUSCRIT AUTOGRAPHE.
1 page in-4 à l’encre noire. Sans date. " Les poèmes et les proses poétiques de Bruno Capacci émanent de ces zones de conscience où se forment les surprises inaltérées des premiers matins du monde. Elles répondent à ses dessins, formés eux aussi au cœur d'un moi qui s'éclaire de sa liberté, des ses énigmes et d'une sorte de secret de rapidité qui lui permet d'accueillir du vertige ce qui est sujet à s'échapper aux démarches réductibles de l'être… "


150 €


 






20790 LECOMTE (Marcel). Déchirure. POEME AUTOGRAPHE SIGNé.
4 p. in-8 (l’encre a un peu pali par endroit). Sans date. Beau manuscrit d’un poème ancien de Lecomte sur la fin du monde, dédié au peintre Jos. Albert. Publié dans la revue de Tom Gutt, Le Vocatif n°55, mars 1974. “Ce soir le soleil est mort le soleil est mort d’une grande blessure violette d’une blessure ancienne déjà et large et profonde et chaude qui s’est rouverte tout-à-coup comme un abcès qui crève et le soleil est mort comme un sultan rouge dans le sérail après une belle orgie à la plus belle heure du monde…”


450 €


 






18638 LECOMTE (Marcel). L' Accent du secret.
P., N.R.F., Coll. Métamorphoses, 1944, in-12, br., 126 p. Edition originale sur papier de châtaignier, celui-ci marqué S.P. Envoi a.s. à André Rolland de Renéville.


150 €


 






18639 LECOMTE (Marcel). Le Règne de la lenteur.
P., Editions Sagesse, Les Feuillets coll. Anthologique, (1938), plaq. in-8, (8 p.) Edition originale. Envoi a.s. à André Rolland de Renéville “très amicalement”.


250 €


 






18640 LECOMTE (Marcel). Le Vertige du réel.
Bruxelles, Les Cahiers du Journal des Poètes, Série Poétique, 1936, in-8, br., 42 p. Edition originale. 1/25 ex. de tête num. sur Featherweight fort portant le signe du coeur couronné, celui-ci enrichi d’un envoi a.s. à André Rolland de Renéville.


450 €


 






16764 LECOMTE (Marcel). “La Mini-jupe”. Manuscrit autographe signé.
2 pages in-4 sans date (1966) à l'encre bleue, signée. Sur la signification du port de la mini-jupe et sa mythologie. “L’on a tendance à faire grief à la mini-jupe. Elle ne met cependant aux prises que des filles ni très excentriques, ni très raisonnables, elle ne les met aux prises qu’avec des regards qui souvent se refusent à se laisser séduire en dépit du choc parce que ces mêmes regards émanent d’êtres qui paraissent penser qu’une fille ne doit laisser d’elle qu’une jolie image sans rien d’insolite. Cependant la mini-jupe peut évoquer pour l’être attentif aux lointains une mythologie de l’origine où se marquaient la liberté, la souveraineté de la femme dans une société où l’histoire n’était pas encore perçue comme telle (...) Ne s’agissait-il pas alors de pouvoir toujours reconnaitre les dimensions du mythe ? Les Amazones antiques se marquaient dans leur vêture des symboles d’affranchissement sexuel. Et certes, la mini-jupe de nos jours n’est peut-être qu’une anodisation peu libertine d’une telle pulsion d’affranchissement” etc. et plus loin “N’arrive-t-il pas à l’extrême présent de se donner à nous dans une sorte de répétition originaire, ne se renvoit-il pas alors lui-même spectralement aux lointains. ( ...) Oui cette affirmation de l’Histoire par elle-même pour qu’elle soit enrichisssante n’est en somme possible qu’à travers tels signes qu’elle répète pour nous conduire parfois au plus près de son origine.”


400 €


 






9235 LECOMTE (Marcel). L' Accent du secret.
P., N.R.F., Coll. Métamorphoses, 1944, in-12, br., 126 p. Edition originale sur papier de châtaignier.


30 €


 






21813 LEDUC (Violette). L.A.S. à “Olguche et Marco” Barbezat.
2 pages in-4 à l'encre bleue, Catro de Patos (?), 22 juillet 1960. Belle lettre amicale et très enjouée, un brin délirante et largement assaisonnée d'espagnol puisqu'envoyée d'Espagne... " Vous ne pouvez imaginer combien je pense à vous, et combien vous me manquez (...) Nos langues vont, et vont, on parle de Megève, on nomme les descentes, les monte pentes, les moniteurs, et moi je rêve aussi aux ballades dans les montagnes, à Mozarantros, même aux "tabanos" - Quelles horribles fléaux! " Elle regrette pour eux le mauvais temps en France. " Sincèrement j'aimerais vous voir sortir de votre chambre, et vous trouvez là dehors ! Maintenant, nos amis le médecin et sa femme sont là. Vous les connaîtrez à votre prochain séjour à Madrid ; je sais qu'ils vous amuseront, quoique Mari Carmen (la femme) dise qu'Eusabio (le mari !) soit un autre homme ici qu'à Madrid, il est néanmoins la gaité et la pétillance mêmes. Nous dansons tous les soirs, car il adore ça et le fait à merveille. Comme elle a été malade tout l'hiver elle se fatigue vite ; je fais la relève. Alors nous faisons la joie des jeunes. Il sait aussi danser le flamenco ; il est tordant et a l'air d'un gamin. Olga serait folle ! " Il est ensuite question (dans un espagnol approximatif !) d'un projet de voyage à Londres (…) " Duddie, que nous avons amenée ici comme une reine entre coussins et oreillers seule dans l'auto, derrière, avec sa femme de chambre particulière, va mieux " (quelle phrase !) " Oh, cela n'est pas merveilleux, mais elle bouge les bras plus haut, elle a sorti son tricot abandonné, ce qui marque une amélioration nette. Notre ami la soigne et on essaie d'éliminer l'eau qui est retenue dans ses jambes enflées pour qu'elle marche mieux… " Il est ensuite question de diverses jeunes personnes, de sa belle sœur Tita qui, opérée en Suède, est " allée et revenue en moins de 15 jours, absolument merveilleux, guérie, tout cicatrisée " ! (…)


600 €


 






5997 LEFRANCOIS-PILLION (Louise). L’ Esprit de la cathédrale.
P., Librairie Plon, “Présences”, 1946, in-12, br., 288 p. Edition originale. 1/50 ex. num. sur papier d’alfa (seul tirage en grand papier).


50 €


 






22413 LEFRANCQ (Marcel G.). Aux Mains de la lumière.
Images et poèmes présentés par Armand Simon. Mons (Belgique), Éditions de " Haute Nuit ", 1948, petit in-4, en feuilles, sous couvertures illustrées rempliées. Édition originale de cet album de photographies originales. Tirage unique à 126 exemplaires contenant 11 feuillets de texte et 25 tirages photographiques originaux en noir et blanc, format 30 x 16,5 cm. Membre du Groupe Surréaliste en Hainaut, aux côtés d'Achille Chavée, Fernand Dumont et Armand Simon, Marcel Lefrancq (1916-1974) publia des photographies dans L'Invention collective, dans les publications du Surréalisme révolutionnaire puis dans la revue Cobra. Aux Mains de la lumière est le seul album qu'il réalisera. Références : Marcel-G. Lefrancq, catalogue d'exposition, Charleroi, Palais des Beaux-Arts, 1982. Marcel-G. Lefrancq, Aux Mains de la lumière, Musée de la photographie, Charleroi, 2003.


9500 €


 






9419 LEFRANCQ (Marcel-G.). Catalogue de l’exposition: “Aux mains de la lumière”.
Charleroi, Musée de la Photographie, 2003, in-4, br., couv. rempl., 167 p. Textes de Marcel et Michel Lefrancq, Xavier Canonne, nombreuses photographies en noir et blanc. Biographie, bibliographie, documents.


60 €


 






23599 LEGRAND (Gérard). Des Pierres de mouvance.
Paris, s.e., 1953, in-8, br., 63 p. Edition originale du premier ouvrage de l'auteur tiré à 250 ex., celui-ci 1/200 sur papier surglacé.


50 €


 






1375 LEIRIS (Jacques-Eugène). Jadis.
Préface de Michel LEIRIS. P., Fourbis, 1990, in-8, br., n.c., couv. rempl., 115 p. Edition originale. 1/30 ex. num. sur rivoli (seul grand papier).


50 €


 






24003 LEIRIS (Michel). Fibrilles. La Règle du jeu III.
P., N.R.F., 1966, in-8, br., 292 p. Edition originale. S.P., envoi a.s. à Pierre Torreilles. Prière d’insérer.


80 €


 






23107 LEIRIS (Michel). L’Âge d’homme.
P., N.R.F., 1939, in-12, br., 178 p Edition originale. Exemplaire du service de presse (pas de tirage sur grand papier). Envoi autographe signé à Alfred MÉTRAUX. C'est en 1935 que Leiris a rencontré Alfred Métraux (1902-1963), ethnologue, ancien condisciple de Georges Bataille à l'École des Chartes, avec qui il correspondait depuis la publication des premiers numéros de la revue Documents. Leiris et Métraux devaient non seulement nouer des liens d'amitié qui ne se sont jamais distendus, mais s'intéresser tous deux, dans le cadre de leur profession d'ethnographes, aux phénomènes de possession (le culte des zâr pour l'un, du vaudou pour l'autre). Après la seconde guerre mondiale, Métraux, alors conseiller aux Nations-Unies, confia à Leiris une mission aux Antilles qui allait donner lieu à l'importante étude de celui-ci: Contacts de civilisations en Martinique et en Guadeloupe (publiée en 1951). Leiris reprit la direction en 1948 de la collection L'espèce humaine chez Gallimard, collection fondée par Métraux avant la guerre avec Paul Rivet et Georges Henri Rivière. C'est Métraux qui, coordonnant le programme interdisciplinaire lancé en 1950 par l'Unesco sur le "Racisme devant la science", demanda à Leiris d'écrire Race et civilisation, texte qui sera repris dans Cinq études d'ethnologie (1988). Dans ce volume, Leiris reprend également l'allocution qu'il prononça le 17 juin 1963 au cours de l'hommage rendu à Alfred Métraux, quelques semaines après qu'il se soit donné la mort. Belle provenance, de grandes similitudes de caractère rapprochaient les deux ethnologues. - Voir Aliette Armel, Michel Leiris, Fayard, 1997, p. 381 et 469-70.


750 €


 






22136 LEIRIS (Michel). Le Ruban au cou d'Olympia.
P., N.R.F., 1981, in-8, br., 288 p. Edition originale. S.P. Bel envoi a.s. : “à Jean Queval grâce à qui “Beowulf” deviendra pour moi plus qu’un beau nom...” Dos lég. défr.


100 €


 






21585 LEIRIS (Michel). Le Point Cardinal.
Fac-similé autographe. P., Kra, Les Cahiers Nouveaux, 1927, petit in-12, br., couv. rempl., 92 p. Edition originale. 1/750 ex. num. sur vélin de Rives.


60 €


 






20893 LEIRIS (Michel). La Néréide de la mer Rouge.
P., Mesures, 15 janvier 1936, in-8 agrafé. Edition originale. Tirage à part de la revue Mesures à 100 exemplaires sur Alfa Navarre (I à L et 1 à 50). Exemplaire n° 36 comportant un extraordinaire envoi a.s. pleine page à Janine et Raymond QUENEAU: “Néréide”, par continuation, égale “ides de mars” ; “mars”, par connexion, égale “avril” (qui est mon mois) ; “avril”, par zodiacification, égale “taureau” (qui est mon signe) ; “taureau”, par rotation (passage à ce qui est le revers de sa médaille), égale “matador”. Il s’agit maintenant, par une opération du “matador”, de retrouver la “néréide”. Mais je m’arrête là, ne pouvant exposer avec la décence voulue ce que le matador fait à la néréide. Très affectueusement Michel”.


2500 €


 






20612 LEIRIS (Michel). L.A.S. à Raymond Queneau.
2 pleines pages à l'encre noire. Revoil Beni-Ounif, 22 février 1940. Ayant fait son service militaire comme chimiste Michel Leiris est affecté, lors de la mobilisation, dans une unité d'artillerie qui part en Algérie, dans le sud saharien, pour expérimenter secrètement des armes nouvelles. Il restera à Revoil Beni-Ounif jusqu'en mars 1940. Très belle lettre, fort détaillée, sur ses conditions de vie et son état d'esprit de circonstance (Leiris ne tient pas son Journal durant cette période). Il est question, entres autres choses, de ses camarades du Musée de l'Homme lesquels auront une fin tragique (Anatole Lewitzky, Deborah Lifchitz) et les lecteurs de La Règle du Jeu pourront trouver dans l'avant-dernier paragraphe de cette lettre (à lire entres les lignes, comme seuls les libraires savent le faire!) une allusion à sa relation avec la belle Khadidja, la jeune prostituée qui deviendra l'héroïne du dernier chapitre de Fourbis : " Vois ! déjà l'ange ". " Cette tendance toute militaire à l'inertie, que tu dois bien connaître, me fait répondre avec environ un mois de retard à tes deux lettres. Je compte sur ta propre condition militaire pour être compris et excusé... Du Sahara, je n'aurai vu que la bordure et, des évènements actuels, qu'un minime à-coté. Moi aussi, il me semble être au dépotoir ou - plus exactement - prisonnier d'un énorme VACUMM CLEA NER, dans lequel j'aurais été absorbé par mégarde avec quelques tonnes de poussière. En fait d'existence de bled, la Mission Dakar-Djibouti était de la petite bière à coté de ce que j'ai connu depuis que je suis ici. Il me semble que j'accomplis en ce moment mon premier véritable voyage et que rien, pour les amateurs d'exotisme, ne se peut comparer au seul passage de la vie civile à la vie militaire " (...) " Des nouvelles de Paris, j'en ai eu régulièrement par Zette et, de temps à autre, par notre Marcel Moré. Je n'en augure rien de bon et me prépare courageusement à subir le choc du retour. Je suis très heureux d'apprendre que tu es entré en contact avec Lewitzky, type de valeur à tous points de vue et camarade tout à fait agréable. J'apprends - par une lettre reçue aujourd'hui de Deborah Lifchitz - qu'il a obtenu de son chef de corps l'autorisation de faire des conférences sur l'ethnologie. Te dirais-je qu'en ce qui me concerne les gens ont ouvert de grands yeux et ont eu l'air de se demander si je ne me foutais pas d'eux quand j'ai décliné ma qualité d'ethnologue ? " Ça ne doit pas vous rapporter beaucoup, votre métier ! " m'a dit le robuste polytechnicien qu'est l'un d'entre eux. A quoi j'ai répondu que cela rapportait, du moins, l'intérêt qu'on pouvait y porter ". Il s'est attaché parmi les sous-offs ou " humbles non gradés " quelques types sympathiques, consciencieux dans les tâches qui leur étaient confiés : " on peut comprendre que certains aient grand espoir de " rénover ". Le Malheur est que ces types là ont bien l'air d'être une infime minorité et que ce sont souvent les plus pétris de préjugés. Leur force repose justement, en grande partie, sur les dits préjugés... Je ne me sens pour ma part, quant à moi, pas très d'attaque pour rénover. Au fond, je ne suis guère sorti de ma position d'observateur, ou mieux, peut-être : de touriste, voire même de flâneur. Ce qui me séduit toujours, c'est un contact (pour parler le jargon socio-sacrologique : une communion) - fût-ce d'un instant - avec quelqu'un, - le sentiment qu'il peut exister entre nous quelques affinités. De cela, je n'aspire pas à me " dégager ", bien que je me méfie de plus en plus du pouvoir d'attraction qu'ont sur moi certains éléments de pur pittoresque... " " J'espère que, bientôt, nous nous rencontrerons à Paris, et que nous pourrrons parler longuement de tout cela... "


4000 €


 






20606 LEIRIS (Michel). Carte autographe signée à Raymond Queneau.
1 page sur carte avec une vue de la plage de La Croix-Valmer (Var), 16 septembre (1937). Amusante “carte de vacances” : “Chers amis, y ai déjà cru me noyer (et, en conséquence, désappris à nager), pensé me fracasser la tête en escaladant des rochers, attrapé au pied gauche des ampoules presque aussi belles que celles de la “buena tirada”. Vous voyez donc que tout est pour le mieux! (...) “(Zette ne veut rien ajouter à ma carte - qu’elle trouve idiote - mais elle vous envoie son affection).”


650 €


 






11383 LEIRIS (Michel). Note sur l'usage de chromolithographies catholiques par les vodouisants d'Haïti.
Dakar, l'Institut Français d'Afrique Noire, 1953, in-4, agrafé, (11 pages). Edition originale. Tiré à part des Mémoires de l'Institut Français d'Afrique Noire, n° 27 - Les afro-américains.


100 €


 






11384 LEIRIS (Michel). De La Littérature considérée comme une tauromachie.
In Les Temps Modernes, n° 8, 1er mai 1946, in-8, br. Pré-originale du texte de Michel Leiris. Également Sartre “Fragment d'un portrait de Baudelaire”, Frénaud “La noce noire”.


15 €


 

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